Informations et actions
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A Pornic, la Semaine du film palestinien
Samedi : 49 places payantes pour 53 personnes qui assistent et participent au débat. Seconde séance de la Semaine dans une autre salle associative : le St-Joseph de Sainte-Marie/Mer. A 17 heures c'est un public différent, avec quelques jeunes, qui vient voir un film attachant, sensible et réussi : Wajib. Commes les autres séances l'AFPS44 est associée au CCFD-TS44 particulièrement actif sur le territoire.
Ce beau film permet de faire connaître de façon subtile la situation des Palestiniens d'Israël. Et c'est sur cette aspect de la société israélienne que porte presque exclusivement le débat avec des questions de fond : l'histoire de la dépossesion, la Naqba, le refus de regarder le passé pour de nombreux Israéliens, la loi sur l'Etat-nation du peuple juif est présentée avec toutes ses conséquences. Il est rappelé que seul le respect du Droit international permetra aux deux peuples de vivre côte à côte.
A relever par ce qu'elle est particulièrement utile l'affichage sur l'écran des 4 cartes pendant le débat. Une dégustation de zatar sur mie de pain trempée dans l'huile d'olive termine la soirée. Ce fut apprécié. A noter la convergence des énergies et l'excellent accueil du St-Joseph qui a tout fait pour cette réussite.
Dimanche au St-Gilles la 3ème et dernière séance : un public plus claisemé ( 30 personnes payantes) pour un film qui décrit une belle action de résistance pendant la 1ère Intifada. Occasion dans le débat de parler des formes de résistance ,on-violente d'aujourd'hui : par ex la coop^érative Al Sanabel. Des contacts approfondis après la séance, à prolonger. Certes l'idée que "ça n'évolue pas, que tant les Etats-Unis ... " est ancrée, les films permettent peut-être de corriger ces représentations.
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Rezé : la Semaine du film palestinien
Belle affluence vendredi soir, qui semble un bon jour pour le public) au cinéma saint Paul de Rezé avec 150 personnes dont "beaucoup" de jeunes.Sur le film : "Film très prenant qui montre une autre image de la Palestine, celle de la communauté chrétienne, dans une "normalité" plus proche de notre environnement quotidien. Très intéressant pour quelqu'un qui n'est jamais allé sur place comme moi. Très intéressante aussi, l'idée de rendre présentes les violences et les tensions du moment en images fixes et en les mettant en écriture."Des questions sur la guerre à Gaza, sur le Boycott, la solidarité, sur ces beaux visages de femmes qui disent leur amour de le vie, de la Palestine, aussi leur désespoir, mais toujours Résister ,, des questions également sur le film, sa construction, son parcours et notamment la symbolique de la présence des animaux, de la mer morte qui se meurt à nouveau, etc...Quasiment tout le public est resté, ce qui démontre que le débat fait partie de la soirée. Présence de 5 élus (ue) Rezéens et d'une élue de Vertou.Une prolongation par un pot convivial organisé par les amis d'Abu Dis Palestine Solidarité Palestine qui s'est prolongé jusqu'à minuitTrès très bon accueil coopératif et chaleureux de l'équipe de bénévoles du cinéma.Pétitions épuisées : celle à propos du tramway de Jérusalem.Un témoignage de spectatrice : "une rencontre intimiste et sensible qui nous fait entendre une petite musique personnelle et nous fait entrer en empathie et nous rend solidaire du peuple Palestinien."
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A Blain, la Semaine du film palestinien
70 entrées : en introduction, présentation de la semaine du cinéma palestinien et le film de ce soir Wajid. Après la projection nous passons au débat. Les échanges ne sont pas très fournis : quelques questions sur les conditions d'existance du cinéma palestinien en territoire israélien sur les difficultés du tournage, le financement de ce cinéma, et autres ...En fin de débat nous avons présenté les actions de l'AFPS.
Le groupe de Blain avait disposé dans l'espace accueil, deux tables pour vendre de la bière au profit de la coopérative Al Sanabel, pour proposer à la signature les cartes-pétition sur l'extension du tramway de Jérusalem, vendre quelques livres et pour mettre à disposition le journal et quelques documentations.
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Au Pouliguen, la Semaine du film palestinien
Au cinéma Pax du Pouliguen 40 personnes assistent à la projection de Samouni Road en présence du dialoguiste du film, Wissam, gazaoui francophone. Est faite une très brève présentation de la Semaine du film palestinien, car le film et long et il faut du temps pour l'échange avec la salle.
Celui-ci débute par une longue et nécessaire présentation du contexte et des conditions de réalisation du film ainsi que des choix de la "grammaire filmique" Notemment pour expliquer l'importance des dessins animés. Puis quelques questions sur la situation à Gaza et les rapports de l'Autorité palestinienne avec Gaza, avec Israël. Un coup de projecteur historique très rapide est donné pour expliquer la nature de la situation de la Palestine" : une situation de colonisation où est relevée la responsabilité de l'Europe. Sans doute un temps de débat écourté par la séance suivante.
La soirée se termine par les possibilités dont chacun dispose pour dénoncer la violation permanente du Droit.
Saisie au vol cette phrase terrible de Wissam :" Il y a 40 ans ou plus le Gazaoui voyait le colon dans l'Israélien, il y a 30 ans il voyait le soldat, il y a 20 ans il voyait le tank, aujourd'hui il entend le drone et l'avion..."
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Au Lutétia : La "Semaine du film palestinien"
80 entrées payantes, en très grande majorité des personnes non présentes à la séance de mercredi. La majorité des spectateurs sont restés au débat, des informations complémentaires ont été apportées, quelques questionnements et notamment quelles actions efficaces pouvons nous engager en tant que citoyens ? Quelques pétitions " tramway ont été signées et 6 personnes ont laissé leurs coordonnées.Avec un total de 140 spectateurs sur les deux séances, satisfaction pour la participation Et pour certains bénévoles, ce fut un véritable plaisir de projeter un film en 35 mm. -
La Semaine du film à Bouguenais
Ce soir 63 personnes à Bouguenais, presque toutes sont restées après le film Samoni Road. Le film a impressionné le public et Wissam a présenté l'origine, la construction du film, sa philosophie, la démarche.Les questions ont été pointues et les réponses d'une sagesse et d'une précision suisse, pardon gazaouie, public enchanté par le film et l'intervenant. -
Norma Marcos à Pornic
Dans le cadre de la Semaine du film palestinien, la 1ère des 3 séances programmées est assurée par Norma MARCOS qui présente son film " Un été brûlant en Palestine" Plus de 60 personnes applaudissent la réalisatrice à la fin de la projection. Celle-ci avait été précédée de son court-métrage très fin, troublant dont on ne saisit le sens que dans les dernières images. Deux très belles surprises.
Le long métrage illustre la vitalité de la société palestinienne, sa ténacité malgré les conditions de vie difficiles : ils et elles font du sport automobile , organisent des concours sportifs ..., des compétitions de natation, ou de cuisine géante, de la musique ! Les Palestiniens sont des gens "NORMAUX" ! Et puis, pendant cet été 2014, cet été "brûlant" la guerre de Gaza et la très grande solidarité spontanée qui s'organise... Le film propose beaucoup de sujets de découverte, de discussion pour mieux comprendre ce que vivent les Palestiniens dans toute leur diversité.
Des échanges après le film sur les choix de Norma, sur la situation, sur l'avenir. Une belle soirée appréciée. De très nombreuses signatures de pétition pour dénoncer la participation de sociétés françaises au développement du tramway colonial de Jerusalem-Est
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La "Semaine du film" à Nozay
Soirée à Nozay dont c'est la première participation à la semaine du film palestinien en collaboration avec le Comité Palestine de Châteaubriant.73 entrées payantes. Excellent accueil du cinéma : avant la séance repas (avec participation) en présence de Dima, repas auquel étaient conviés les bénévolesA l'issue du film ,tous les spectateurs sont restés au débat ; Dima a apporté des précisions sur la destruction de son village en 1967, sur la manière dont elle a obtenu les archives de l'armée israélienne, la dispersion des habitants, etc..très intéressant .Après le débat , les spectateurs ont pu continuer l'échange avec Dima, très chaleureuse , autour d'un pot (avec pâtisseries) offert par le Comité Palestine de Châteaubriant et les militants AFPS présents.Belle soirée.