Informations et actions
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Vallet :
C''était la première fois à Vallet ! Accueil très chaleureux du cinéma Le Cep. 120 spectateurs, la plupart des spectateurs ne nous étaient pas connus et il y avait une belle brochette de jeunes.La présence de Norma Marcos a été un grand plus. Presque tout le monde est resté pour le débat qui a reflété la découverte d'un mode de vie palestinien proche de nous à travers les personnes interviewées dans le film.Interrogations sur la place des femmes et sur les différentes conditions sociales parmi les Palestiniens. En début de soirée, le court métrage "Wahdon" a été projeté, poétique et de qualité, très apprécié. -
A Clisson La Semaine du film palestinien
Nous avons eu 119 entrées. Beaucoup d'habitués de nos évènements.Le film est excellent et a séduit tout le monde. Sa complexité rendait le démarrage du débat un peu lent. Celui-ci a été suivi par les deux tiers des spectateurs, la durée du film (2h10) expliquant peut-être les sorties rapides. Cette durée peut expliquer aussi la brièveté du débat de 30 mn environ, dommage. Des questions sur la situation des femmes et la scolarité des enfants palestiniens mais un débat assez terne. Nous n'avons malheureusement pas évoqué le BDS.
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Le sel de la mer au Cinématographe
Affluence identique voire plus élevée que samedi au Cinématographe pour le film Annemarie Jacir "Le sel de la mer".Malheureusement, la moitié de la salle s'est vidée pour le débat, la faute sans doute à une veille de reprise du travail lundi.Débat à 2 voix, AFPS + Amnesty. Amnesty a pu mettre en parallèle le cas particulier des Palestiniens avec la situation des droits de l'homme dans d'autres parties du monde et déplorer l'époque actuelle qui consiste à bâtir des murs plutôt qu'à les faire tomber. -
Wardi au Concorde : Semaine du film palestinien
2ème séance Avant-Première au concorde ce mardi. Après The report on Sarah and Saleem, c’est le film d’animation Wardi qui était projeté.79 personnes dont une bonne moitié est restée au débat ont vu ce film sensible sur les réfugiés Palestiniens du Liban.
Le débat a été l’occasion de bien re-situer la Nakba avant la création d’Israël et d’expliciter le sort des réfugiés du Liban.
Preuve que le cinéma peut nous faire toucher un autre public, nous avons noté avec satisfaction, lors de cette séance, la présence de néophytes dont les questions ont permis de ré-insister sur le caractère colonialiste et non-religieux du problème israélo-palestinien et de rappeler, avec l’intervenant d’Amnesty Nantes, le Droit international.
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Wajib à Héric : La Semaine du film palestinien
87 personnes ont assisté au film Wajib à Héric, deuxième film projeté dans cette salle durant la semaine. Beaucoup d'intérêt pour ce film dont la qualité a été appréciée de manière unanime.Seules 4 personnes sont parties avant les échanges qui ont suivi.
Une discussion de 40 minutes durant lesquelles de nombreux thèmes ont été abordés tant sur le plan humain que politique et artistique.Les spectateurs ont souligné la manière dont est traité l’affrontement de cultures et de générations dans un climat malgré tout de respect
entre père et fils. les sentiments qui affleurent sont abordés avec beaucoup de pudeur.
Les questions relatives à la discrimination des Palestiniens vivant en Israël ont aussi été abordées, de même les questions démographiques,
la loi sur l’Etat nation, la volonté de diviser les Palestiniens sur la base des religions ( Chrétiens et musulmans face au service militaire), l’exil,
l’importance du mariage dans une société soumise au poids des traditions.
En résumé , un beau film très riche qui a été applaudi…à la fin du débat.Il faut aussi noter que plusieurs spectateurs de la région nord de Nantes ont fait tout un parcours entre Nort-sur-Erdre, Nozay et Héric,
montrant ainsi leur intérêt pour la Palestine et sa culture.
Plusieurs adresses de sympathisants recueillies et cette réaction d’une spectatrice : "j’avais pris la semaine dernière votre petit journal (Palestine 44), très bien fait qui permet de comprendre la situation. » -
La Semaine du film à Bouguenais : Wardi
51 personnes ce soir, le cinéma nous a demandé de limiter le débat pour permettre le film suivant : peu de questions mais celles d'un garçon de 11 ans. On pourra reparler de ce film lors de sa sortie nationale le 28 février. Le film est d'une très belle facture, il a plu au public.- La question du garçon : " pourquoi ils construisent en hauteur car les avions peuvent plus facilement les attaquer ? "
- la réponse à ce jeune garçon de 11 ans dans la salle après le débat car pour des raisons de temps, tout le monde était sorti "imagine un terrain grand comme 10 terrains de foot, 100O personnes viennent y habiter, 10 ans après ils sont 1500 puis 20 ans après 3000, ils n'ot pas le droit de sortir du terrain, alors ils construisent vers le haut, toujours plus haut au fils des générations, arrière grandpèez, papi,, parfois les oncles et tantes etc,
- réponse du petit garçon "alors c'est une maison de famille"
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"La terre parle arabe" au Cinematographe à Nantes
Encore une belle affluence (une bonne centaine de personnes) au Cinématographe pour la projection de l’indispensable « La terre parle arabe » qui permet de mieux comprendre les origines et l’actualité du conflit israélo-palestinien. En présence de Maryse Gargour, réalisatrice du film et de Sandrine Mansour qui a collaboré au film, le débat a été riche et a duré plus d’une heure. Maryse Gargour s’est félicité de la forte présence de jeunes qui n’ont pas hésité à prendre la parole. Les éclaircissements de Sandrine et Maryse ont encore une fois captivé l’assistance.
Un témoignage : Avis personnel pour avoir assisté à l'autre débat hier soir au Cinématographe suite à la projection de " la terre parle Arabe" : un exposé complet sur le contexte,.... qui entre dans une logique de l'éducation populaire indispensable pour nous éclairer et nous "armer" face au déferlement médiatique....