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1er mai à Nantes : Non à l'apartheid israélien !
500 tracts distribués - des cartes postales signées pour la reconnaissance par la France de l'Etat de Palestine, une présence derrière le drapeau de Palestine !
le 1er mai : Fête internationale des travailleurs .tract.pdf (50.15 Ko) -
«Paroles de jeunes Palestiniens»
- Par catherine-vitoux
- Le 08/03/2019
Dans le cadre de la SECD
Vendredi 15 mars à 19h à la Maison de quartier de la Bottière.
147 Route de Sainte-Luce, 44300 Nantes
«Paroles de jeunes Palestiniens»,
Témoignages de jeunes du camp de réfugiés de Jénine mis en scène par le Théâtre Messidor avec des jeunes de la maison de quartier de La Bottière à Nantes.
Présenté à Capélia en Novembre 2018 et à Montreuil en Février 2019.Puis échange avec les jeunes acteurs : origine, construction, suites du projet.
En partenariat avec : le théâtre Messidor et le centre socioculturel ACCOORD Bottière, l'AFPS44.
Expo photos de Joss Dray sur les habitants du camp de Jénine. Ses photos affirment l’humanité d’un peuple en résistance, « légitime sur sa terre ». -
Dima Abu Ghoush, réalisatrice de Emwas sur Alternantes
https://www.alternantesfm.net/magazine-redaction/rencontre-avec-dima-abu-ghoush/
Dima présente l'histoire de ce village - Emwas, Emmaüs- dont les habitants ont été expulsés. Elle décrit comment s'est fait le film et élargit son interview à la situation actuelle de la Palestine.
Durée : 30 mn
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Vallet :
C''était la première fois à Vallet ! Accueil très chaleureux du cinéma Le Cep. 120 spectateurs, la plupart des spectateurs ne nous étaient pas connus et il y avait une belle brochette de jeunes.La présence de Norma Marcos a été un grand plus. Presque tout le monde est resté pour le débat qui a reflété la découverte d'un mode de vie palestinien proche de nous à travers les personnes interviewées dans le film.Interrogations sur la place des femmes et sur les différentes conditions sociales parmi les Palestiniens. En début de soirée, le court métrage "Wahdon" a été projeté, poétique et de qualité, très apprécié. -
A Clisson La Semaine du film palestinien
Nous avons eu 119 entrées. Beaucoup d'habitués de nos évènements.Le film est excellent et a séduit tout le monde. Sa complexité rendait le démarrage du débat un peu lent. Celui-ci a été suivi par les deux tiers des spectateurs, la durée du film (2h10) expliquant peut-être les sorties rapides. Cette durée peut expliquer aussi la brièveté du débat de 30 mn environ, dommage. Des questions sur la situation des femmes et la scolarité des enfants palestiniens mais un débat assez terne. Nous n'avons malheureusement pas évoqué le BDS.
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Le sel de la mer au Cinématographe
Affluence identique voire plus élevée que samedi au Cinématographe pour le film Annemarie Jacir "Le sel de la mer".Malheureusement, la moitié de la salle s'est vidée pour le débat, la faute sans doute à une veille de reprise du travail lundi.Débat à 2 voix, AFPS + Amnesty. Amnesty a pu mettre en parallèle le cas particulier des Palestiniens avec la situation des droits de l'homme dans d'autres parties du monde et déplorer l'époque actuelle qui consiste à bâtir des murs plutôt qu'à les faire tomber. -
Wardi au Concorde : Semaine du film palestinien
2ème séance Avant-Première au concorde ce mardi. Après The report on Sarah and Saleem, c’est le film d’animation Wardi qui était projeté.79 personnes dont une bonne moitié est restée au débat ont vu ce film sensible sur les réfugiés Palestiniens du Liban.
Le débat a été l’occasion de bien re-situer la Nakba avant la création d’Israël et d’expliciter le sort des réfugiés du Liban.
Preuve que le cinéma peut nous faire toucher un autre public, nous avons noté avec satisfaction, lors de cette séance, la présence de néophytes dont les questions ont permis de ré-insister sur le caractère colonialiste et non-religieux du problème israélo-palestinien et de rappeler, avec l’intervenant d’Amnesty Nantes, le Droit international.
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Wajib à Héric : La Semaine du film palestinien
87 personnes ont assisté au film Wajib à Héric, deuxième film projeté dans cette salle durant la semaine. Beaucoup d'intérêt pour ce film dont la qualité a été appréciée de manière unanime.Seules 4 personnes sont parties avant les échanges qui ont suivi.
Une discussion de 40 minutes durant lesquelles de nombreux thèmes ont été abordés tant sur le plan humain que politique et artistique.Les spectateurs ont souligné la manière dont est traité l’affrontement de cultures et de générations dans un climat malgré tout de respect
entre père et fils. les sentiments qui affleurent sont abordés avec beaucoup de pudeur.
Les questions relatives à la discrimination des Palestiniens vivant en Israël ont aussi été abordées, de même les questions démographiques,
la loi sur l’Etat nation, la volonté de diviser les Palestiniens sur la base des religions ( Chrétiens et musulmans face au service militaire), l’exil,
l’importance du mariage dans une société soumise au poids des traditions.
En résumé , un beau film très riche qui a été applaudi…à la fin du débat.Il faut aussi noter que plusieurs spectateurs de la région nord de Nantes ont fait tout un parcours entre Nort-sur-Erdre, Nozay et Héric,
montrant ainsi leur intérêt pour la Palestine et sa culture.
Plusieurs adresses de sympathisants recueillies et cette réaction d’une spectatrice : "j’avais pris la semaine dernière votre petit journal (Palestine 44), très bien fait qui permet de comprendre la situation. » -
La Semaine du film à Bouguenais : Wardi
51 personnes ce soir, le cinéma nous a demandé de limiter le débat pour permettre le film suivant : peu de questions mais celles d'un garçon de 11 ans. On pourra reparler de ce film lors de sa sortie nationale le 28 février. Le film est d'une très belle facture, il a plu au public.- La question du garçon : " pourquoi ils construisent en hauteur car les avions peuvent plus facilement les attaquer ? "
- la réponse à ce jeune garçon de 11 ans dans la salle après le débat car pour des raisons de temps, tout le monde était sorti "imagine un terrain grand comme 10 terrains de foot, 100O personnes viennent y habiter, 10 ans après ils sont 1500 puis 20 ans après 3000, ils n'ot pas le droit de sortir du terrain, alors ils construisent vers le haut, toujours plus haut au fils des générations, arrière grandpèez, papi,, parfois les oncles et tantes etc,
- réponse du petit garçon "alors c'est une maison de famille"
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"La terre parle arabe" au Cinematographe à Nantes
Encore une belle affluence (une bonne centaine de personnes) au Cinématographe pour la projection de l’indispensable « La terre parle arabe » qui permet de mieux comprendre les origines et l’actualité du conflit israélo-palestinien. En présence de Maryse Gargour, réalisatrice du film et de Sandrine Mansour qui a collaboré au film, le débat a été riche et a duré plus d’une heure. Maryse Gargour s’est félicité de la forte présence de jeunes qui n’ont pas hésité à prendre la parole. Les éclaircissements de Sandrine et Maryse ont encore une fois captivé l’assistance.
Un témoignage : Avis personnel pour avoir assisté à l'autre débat hier soir au Cinématographe suite à la projection de " la terre parle Arabe" : un exposé complet sur le contexte,.... qui entre dans une logique de l'éducation populaire indispensable pour nous éclairer et nous "armer" face au déferlement médiatique....
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A Pornic, la Semaine du film palestinien
Samedi : 49 places payantes pour 53 personnes qui assistent et participent au débat. Seconde séance de la Semaine dans une autre salle associative : le St-Joseph de Sainte-Marie/Mer. A 17 heures c'est un public différent, avec quelques jeunes, qui vient voir un film attachant, sensible et réussi : Wajib. Commes les autres séances l'AFPS44 est associée au CCFD-TS44 particulièrement actif sur le territoire.
Ce beau film permet de faire connaître de façon subtile la situation des Palestiniens d'Israël. Et c'est sur cette aspect de la société israélienne que porte presque exclusivement le débat avec des questions de fond : l'histoire de la dépossesion, la Naqba, le refus de regarder le passé pour de nombreux Israéliens, la loi sur l'Etat-nation du peuple juif est présentée avec toutes ses conséquences. Il est rappelé que seul le respect du Droit international permetra aux deux peuples de vivre côte à côte.
A relever par ce qu'elle est particulièrement utile l'affichage sur l'écran des 4 cartes pendant le débat. Une dégustation de zatar sur mie de pain trempée dans l'huile d'olive termine la soirée. Ce fut apprécié. A noter la convergence des énergies et l'excellent accueil du St-Joseph qui a tout fait pour cette réussite.
Dimanche au St-Gilles la 3ème et dernière séance : un public plus claisemé ( 30 personnes payantes) pour un film qui décrit une belle action de résistance pendant la 1ère Intifada. Occasion dans le débat de parler des formes de résistance ,on-violente d'aujourd'hui : par ex la coop^érative Al Sanabel. Des contacts approfondis après la séance, à prolonger. Certes l'idée que "ça n'évolue pas, que tant les Etats-Unis ... " est ancrée, les films permettent peut-être de corriger ces représentations.
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Rezé : la Semaine du film palestinien
Belle affluence vendredi soir, qui semble un bon jour pour le public) au cinéma saint Paul de Rezé avec 150 personnes dont "beaucoup" de jeunes.Sur le film : "Film très prenant qui montre une autre image de la Palestine, celle de la communauté chrétienne, dans une "normalité" plus proche de notre environnement quotidien. Très intéressant pour quelqu'un qui n'est jamais allé sur place comme moi. Très intéressante aussi, l'idée de rendre présentes les violences et les tensions du moment en images fixes et en les mettant en écriture."Des questions sur la guerre à Gaza, sur le Boycott, la solidarité, sur ces beaux visages de femmes qui disent leur amour de le vie, de la Palestine, aussi leur désespoir, mais toujours Résister ,, des questions également sur le film, sa construction, son parcours et notamment la symbolique de la présence des animaux, de la mer morte qui se meurt à nouveau, etc...Quasiment tout le public est resté, ce qui démontre que le débat fait partie de la soirée. Présence de 5 élus (ue) Rezéens et d'une élue de Vertou.Une prolongation par un pot convivial organisé par les amis d'Abu Dis Palestine Solidarité Palestine qui s'est prolongé jusqu'à minuitTrès très bon accueil coopératif et chaleureux de l'équipe de bénévoles du cinéma.Pétitions épuisées : celle à propos du tramway de Jérusalem.Un témoignage de spectatrice : "une rencontre intimiste et sensible qui nous fait entendre une petite musique personnelle et nous fait entrer en empathie et nous rend solidaire du peuple Palestinien."
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A Blain, la Semaine du film palestinien
70 entrées : en introduction, présentation de la semaine du cinéma palestinien et le film de ce soir Wajid. Après la projection nous passons au débat. Les échanges ne sont pas très fournis : quelques questions sur les conditions d'existance du cinéma palestinien en territoire israélien sur les difficultés du tournage, le financement de ce cinéma, et autres ...En fin de débat nous avons présenté les actions de l'AFPS.
Le groupe de Blain avait disposé dans l'espace accueil, deux tables pour vendre de la bière au profit de la coopérative Al Sanabel, pour proposer à la signature les cartes-pétition sur l'extension du tramway de Jérusalem, vendre quelques livres et pour mettre à disposition le journal et quelques documentations.
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Au Pouliguen, la Semaine du film palestinien
Au cinéma Pax du Pouliguen 40 personnes assistent à la projection de Samouni Road en présence du dialoguiste du film, Wissam, gazaoui francophone. Est faite une très brève présentation de la Semaine du film palestinien, car le film et long et il faut du temps pour l'échange avec la salle.
Celui-ci débute par une longue et nécessaire présentation du contexte et des conditions de réalisation du film ainsi que des choix de la "grammaire filmique" Notemment pour expliquer l'importance des dessins animés. Puis quelques questions sur la situation à Gaza et les rapports de l'Autorité palestinienne avec Gaza, avec Israël. Un coup de projecteur historique très rapide est donné pour expliquer la nature de la situation de la Palestine" : une situation de colonisation où est relevée la responsabilité de l'Europe. Sans doute un temps de débat écourté par la séance suivante.
La soirée se termine par les possibilités dont chacun dispose pour dénoncer la violation permanente du Droit.
Saisie au vol cette phrase terrible de Wissam :" Il y a 40 ans ou plus le Gazaoui voyait le colon dans l'Israélien, il y a 30 ans il voyait le soldat, il y a 20 ans il voyait le tank, aujourd'hui il entend le drone et l'avion..."
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Au Lutétia : La "Semaine du film palestinien"
80 entrées payantes, en très grande majorité des personnes non présentes à la séance de mercredi. La majorité des spectateurs sont restés au débat, des informations complémentaires ont été apportées, quelques questionnements et notamment quelles actions efficaces pouvons nous engager en tant que citoyens ? Quelques pétitions " tramway ont été signées et 6 personnes ont laissé leurs coordonnées.Avec un total de 140 spectateurs sur les deux séances, satisfaction pour la participation Et pour certains bénévoles, ce fut un véritable plaisir de projeter un film en 35 mm. -
La Semaine du film à Bouguenais
Ce soir 63 personnes à Bouguenais, presque toutes sont restées après le film Samoni Road. Le film a impressionné le public et Wissam a présenté l'origine, la construction du film, sa philosophie, la démarche.Les questions ont été pointues et les réponses d'une sagesse et d'une précision suisse, pardon gazaouie, public enchanté par le film et l'intervenant. -
Norma Marcos à Pornic
Dans le cadre de la Semaine du film palestinien, la 1ère des 3 séances programmées est assurée par Norma MARCOS qui présente son film " Un été brûlant en Palestine" Plus de 60 personnes applaudissent la réalisatrice à la fin de la projection. Celle-ci avait été précédée de son court-métrage très fin, troublant dont on ne saisit le sens que dans les dernières images. Deux très belles surprises.
Le long métrage illustre la vitalité de la société palestinienne, sa ténacité malgré les conditions de vie difficiles : ils et elles font du sport automobile , organisent des concours sportifs ..., des compétitions de natation, ou de cuisine géante, de la musique ! Les Palestiniens sont des gens "NORMAUX" ! Et puis, pendant cet été 2014, cet été "brûlant" la guerre de Gaza et la très grande solidarité spontanée qui s'organise... Le film propose beaucoup de sujets de découverte, de discussion pour mieux comprendre ce que vivent les Palestiniens dans toute leur diversité.
Des échanges après le film sur les choix de Norma, sur la situation, sur l'avenir. Une belle soirée appréciée. De très nombreuses signatures de pétition pour dénoncer la participation de sociétés françaises au développement du tramway colonial de Jerusalem-Est
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La "Semaine du film" à Nozay
Soirée à Nozay dont c'est la première participation à la semaine du film palestinien en collaboration avec le Comité Palestine de Châteaubriant.73 entrées payantes. Excellent accueil du cinéma : avant la séance repas (avec participation) en présence de Dima, repas auquel étaient conviés les bénévolesA l'issue du film ,tous les spectateurs sont restés au débat ; Dima a apporté des précisions sur la destruction de son village en 1967, sur la manière dont elle a obtenu les archives de l'armée israélienne, la dispersion des habitants, etc..très intéressant .Après le débat , les spectateurs ont pu continuer l'échange avec Dima, très chaleureuse , autour d'un pot (avec pâtisseries) offert par le Comité Palestine de Châteaubriant et les militants AFPS présents.Belle soirée. -
La Semaine du film à Heric
Soirée Cinéma LE GÉN'ÉRIC à Heric jeudi 10 janvier 2019.
Fréquentation : 52 entrées payantes, ce qui selon le responsable du Gén'éric est correct pour un jeudi soir dans la période, meilleur que les séances des jours précédents.
Pour cette première séance - la seconde est pour lundi avec Wajib - 2 films sont projetés : un court-métrage, Ave Maria et un long-métrage,Téléphone arabe. Présentation de la "semaine du cinéma palestinien" et les films de la soirée, précisant que les œuvres étaient des fictions, pas des documentaires.
A l'issue du visionnage pratiquement tous les spectateurs sont restés pour un débat d'environ trois quarts d'heure.Questions sur les conditions d’existence et de tournage du cinéma palestinien en territoire israélien. L'humour voire l'auto-dérision du long-métrage sont soulignés ainsi que la créativité ; ces films montrent que le cinéma palestinien ne se cantonne pas dans une production politique, militante. Un échange sur la question démographique avec l'accroissement plus rapide de la population palestinienne, et d'autres sujets ...
En fin de débat nous avons présenté l'AFPS : ses objectifs et ses actions.
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"La Semaine" au Cinématographe
Première et belle réussite si on en juge par les applaudissements à la fin de la séance pour cette troisième édition de la Semaine du film palestiien avec une soirée court métrage reflétant les réalités d'aujourd'hui sous le ton du documentaire aux regards sensibles de ces exilés de leur propre exil. Avec une belle surprise, la présence d'un des protagonistes du film, un musicien vivant à Nantes. Le dialogue à trois voix palestiniennes a été d'autant plus remarquable.Auparavant en hors d'oeuvre, deux courts métrages de fiction jubilatoires Ave maria qui sera projeté dans d'autres salles pendant cette semaine et la Pierre de Salomon. Jubilatoires mais ces courts métrages traitaient des questions bien présentes en Palestine
Date de dernière mise à jour : 14/11/2024