Focus sur des soirées

Nous n’avons pas l’habitude de commencer par des remerciements mais cette fois il le faut..

Toute notre gratitude à Sylvain et son équipe du Concorde qui nous a ouvert tout grand son cinéma en accueillant la distributrice Laura, dans son bureau pour un travail urgent, à Pierrot et Rachid qui ont assuré quasiment seuls la mise en place et le service du pot d’accueil, et enfin à Laura et Rashid qui ont animé le débat et à Sandrine M qui a aidé à la traduction, Après ce préambule un peu long mais nécessaire, de la soirée :

on retiendra le lien entre « Réminiscences «  et l’actualité à Gaza qu’a développé Raschid : l’exil et la violence israélienne , le mensonge fondateur des sionistes «  nous sommes un peuple sans terre et nous allons sur une terre sans peuple » toutes les images magnifiques de son film prouvent le contraire, Fait rare, Raschid a ressenti le besoin de regarder son film comme pour s’en imprégner encore et encore, lui qui n’a jamais pu voir la ville dont son grand-père a été expulsé en 1948 « Tout n’a pas commencé le 7 octobre » a-t-il répété .

Dans la salle qui est resté à 98 % pour le débat, deux interventions marquantes : le témoignage d’une femme française dont le père était médecin à Jaffa en 1948 ; enfant de 8 ans , elle a vu ses voisins palestiniens , contraints de quitter, remettre les clés de leur maison à son père , persuadés qu’ils seraient de retour rapidement ..Témoignage également d’une jeune fille qui a remercié l’AFPS44 qui, en proposant ce documentaire lui a permis de « connaître une réalité absente – volontairement ou non- des manuels scolaires et cours d’histoire des collèges et lycées »

Hier au cinéma Le Cep de Vallet, 96 spectateurs, soit 22 de plus que l'an passé, sont venus assister à la projection de NO OTHER LAND. Bonne participation au débat animé par Paul et une représentante d'Amnesty International.

Nous avons effectué des ventes, fait signer des pétitions, enregistré des coordonnées de sympathisants et une adhésion est à venir. Bilan positif.

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A La Montagne : 65 personnes ont assisté à la projection du film "No other land" hier soir à la Montagne au cinéma Le Montagnard. Un record d'audience pour la salle. Ce film était projeté en dehors de la semaine du film palestinien.

85 personne se sont déplacés hier soir au Cinématographe pour assister à la projection des 2 moyens métrages « Palestine Island » et « Une orange à Jaffa ».
Au cours du débat, auquel toute l’assistance est restée, l’AFPS et l’équipe Cinéma ont été - comme lors de la séance d’ouverture au Concorde - plusieurs fois remerciés pour leur rôle d’information sur une situation tue par les grands médias. Des remerciements qui nous confortent dans l’utilité de cette Semaine. Objectif atteint!
L’arbitraire des passages aux Check points et l’empêchement des Palestiniens d’accéder à la mer a choqué de nombreux spectateurs.

- The Teacher est vraiment un film formidable. je vous le recommande très vivement. Il couvre quasiment tous les problèmes des Palestiniens sous occupation. et le jeu des acteurs est remarquable.
- 40 personnes ont assisté à la projection de " the teacher " film très apprécié. Les questions sont venues rapidement et naturellement. Bel échange qui s'est poursuivi autour d'un verre offert par l'équipe du cinéma très accueillante. 

- 87 personnes un samedi après-midi qui toutes ont apprécié un film remarquable  : la lumière de Palestine, le script très bien écrit, au mm, une chute qui laisse ouverte des interprétations et un jeu d'acteurs très maîtrisé. Mais surtout un récit qui colle à la réalité des habitants de Cisjordanie. Et de plus qui laisse ouvertes beaucoup de sujets de discussion : la prison, l'occupation, la justice sous apartheid, la transmission de l'esprit de la résistance. Des spectateurs nous remercient des ouvetures que laisse le film. Le cinéma pour changer les représentations.

Salle pleine Le régisseur commençait à s’inquiéter de devoir refuser du monde dans le format choisi de la salle. Très beau film court ce qui laisse le temps au débat. 

Beaucoup de questions et de réflexions qui toutes commencent pour remercier Serge Le Peron. 

• - découverte de réalités totalement méconnues : l'histoire de la dépossession des terres des Palestiniens, les compromissions des ventes de terre aux sionistes, les modes de vie de la bourgeoisie palestinienne avant 1947, la répression britannique etc.
• - la mise en valeur d'histoires de femmes
• - l'importance des images insérées dans le film et l'histoire de ces images
• - des analyses plus politiques 
• - et la personnalité rayonnante de Leïla Shahid   
• - et l'inertie constatée de notre société (du moins ce fut exprimé comme tel)

Serge Le Peron apporte à chaque fois ses connaissances et témoigne de ce qu'il a perçu de son très récent voyage à Jérusalem-Est. Il laisse ouverte la possibilité d'évolution à l'image de celle de la fin de l'apartheid en Afrique du Sud.
Des spectateurs demandent où se procurer le livre des mémoires de la mère de Leïla Shahid.

Un film qui date de 2007, un film basé sur des témoignages des acteurs palestiniens de la lutte contre les Britanniques et les milices sionistes avec le regard d'un historien. Ce film primé à de nombreuses reprises a été fermement censuré. Il dévoile la face cachée d'un histoire de dépossession de la terre des Palestiniens ...et qui s'accélère aujourd'hui. Mais le peuple palestinien résiste !

Un dévoilement pour de nombreux spectateurs qui se prolonge par la volonté d'en savoir plus. Sandrine Mansour développe et précise les formes de l'oppression, les formes de la propagande israélienne. Le rôle dees femmes est affirmé, le rouleau compresseur du formatage par l'école en Israël, avec ses mots interdits, comme Nakba, la difficulté d'y lutter en Israël, les départs des Israéliens qui ne peuvent supporter cette atmosphère etc... Une soirée réussie

OUI le cinéma peut beaucoup !  A la fin de la soirée, on vient prendre les références du livre de Ilan Pappe "Le nettoyage ethnique de la Palestine" et d'autres publications. Au mur, l'exposition des affiches du cinéma palestinien.

Ci-contre : partie de l'expo Les affiches du cinéma palestinien

Ce film qui ne passera que deux fois en Loire Atlantique en 2025 est une découverte d’un autre cinéma palestinien, Film fantastique dans tous les sens du terme à énormément plu aux spectateurs, ceux-ci ne comprennent pas qu'un tel film n'ait pas trouvé de distributeur en France alors qu'il l'a été en Allemagne et au royaume Uni.

Nous avons eu un retour direct pendant les débats et après, Les symboles forts portés par les deux adolescentes Rebecca et Rasha permettent de replonger dans l’histoire et l’actualité, Vive le cinéma palestinien.

Beaucoup d’animation autour des stands :

• - Nombreux échanges pour répondre aux questions sur nos actions avec un réel intérêt pour « l’école à Gaza », recueillir des informations sur la situation à Gaza et en Cisjordanie
• - Vente de livres et autres produits, 
• - Distribution de tracts d’information, de flyers pour l’appel aux dons pour l’école....
• - Signatures de pétitions : 20 BNP Paribas et 28 Carrefour
• - Présence d’Amnesty International

80 personnes exactement (contre une trentaine l'an passé !), dont 4 élus, ont assisté à la projection du poignant documentaire : no other land. Des questions très pertinentes ont alimenté un riche débat animé par Jean-François, Perrine et Sylvie. La moitié de la salle avait parcouru l'expo photos de Gérard, Jocelyne et Eric au château d'Ancenis, un grand merci à eux, ils ont permis que de nouvelles personnes s'intéressent à ce qui se passe en Palestine. Les spectateurs ont pu se servir en divers flyers et certains d'entre eux ont laissé leur adresse mail. Remerciements chaleureux au cinéma l'Eden 3 qui nous a accueillis les bras ouverts.

Malgré le fait que la séance a commencé avec environ 30 minutes de retard, le public a été très accueillant et réceptif au film. Échanges intéressantes avec en particulier deux témoignages : une femme ayant visité Nazareth il y a 30 ans et un homme qui y séjourne en Israël régulièrement. Questions autour du contexte actuelle ainsi que le panorama du cinéma palestinien sur place. Distribution de tracts d’information et 3 nouveaux contacts.