Le samedi 20 sept à Nantes et à Pornic
A Nantes : 200 personnes dans les rues de Nantes
En solidarité avec le peuple palestinien, nouveau rassemblement hier à Nantes à l’appel de : Association France Palestine Solidarité, MRAP - Nantes et St-Nazaire, Ligue des Droits de l’homme, CIMADE, CCFD-Terre solidaire 44, Artisans du monde-Nantes et St-Nazaire, UJFP (Union juive française pour la paix), ABJC ( Ass. Bouguenais Jumelage Coopération), Les Amis d'Abu-Dis Solidarité, Palestine (Rezé), ARP ( Amis de la Résistance palestinienne), FSU44 , UD-CGT, Solidaires, L'Après 44, PCF44, L'Union Démocratique Bretonne 44.
A Pornic 80 personnes sous la pluie et dans le vent
"Stop au génocide, sanctions immédiates" ... envers un état terroriste - puisqu'il s'en prend majoritairement aux civils - : autant de slogans repris par les 80 personnes qui manifestent à Pornic le samedi 20 septembre. Avec drapeaux : AFPS44 - CCFD-TS44 - ATTAC44 - LFI - Les Ecologistes - FO - CGT, autant d'associations et organisations du Pays de Retz, avec une banderole "Paix, Justice Liberté" pour le peuple palestinien, avec panneaux. Certains manifestants sont en rouge, pour symboliser et visualiser les massacres en cours !
Des prises de parole avant le très dynamique défilé, ces extraits : "ce n'est pas un conflit Israël-Hamas c'est une guerre israélo-américaine contre Gaza avec le projet clairement affiché d'une 3ème expulsion massive après de celle de 1948, celle de 1967" et "ne laissez personne vous convaincre que cela a commencé le 7 octobre ".
En ce qui concerne la France : " derrière la reconnaissance symbolique de la Palestine pour ne pas agir contre le génocide en cours, E. Macron fait de la France un pays complice du génocide. En effet, selon la convention de 1948 ratifiée par la France, les deux éléments caractéristiques de la complicité sont :avoir connaissance de l’intention génocidaire et l’apport d’une aide matérielle et logistique à l’État qui commet les actes génocidaires. Hypocrisie ! " En effet, il est démontré que la France continue d'exporter des composants militaires.
La lettre d'un médecin de Gaza émeut les participants : " Trois autres maisons sont tombées au moment où j’écris. Trois. Chacune avec sa propre histoire sainte, sa propre berceuse interrompue par le cri de l’acier. Si ce n’est pas l’enfer, alors l’enfer est superflu. Et pourtant j’écris. Parce que les mots sont la seule chose qui nous reste pour enterrer les morts »
Dr Ezzideen Shehab, Gaza, 11 septembre 2025
Date de dernière mise à jour : 22/09/2025